L’année 2000 devait être la dernière année d’exploitation du Grand collisionneur électron-positon (LEP) du CERN et elle s’est achevée dans l’expectative

La découverte directe des bosons W et Z au SppS en 1983 a apporté un soutien expérimental conséquent à l'existence du boson de Higgs

Les particules issues de ce processus se répandent rapidement autour du globe, et pourraient influencer le climat de la Terre à l'échelle intercontinentale

Cette observation donne un accès expérimental direct à la masse d’une particule élémentaire appelée quark charmé

À mesure que les différentes avancées des années 1970 venaient consolider le Modèle standard, le champ de Brout-Englert-Higgs et le boson associé sont apparus comme le modèle théorique le plus prometteur pour expliquer l'origine de la masse

La collaboration CMS met à nouveau à l'épreuve le mécanisme de la bascule

Parmi les particules élémentaires, le boson de Higgs détient le record du temps écoulé entre la prédiction d’une particule et sa découverte (48 ans).

Connaître précisément la masse du quark top est d'une importance capitale pour comprendre l’infiniment petit

Ce résultat pourrait aider à déterminer si l'antimatière observée par les expériences dans l'espace provient ou non de la matière noire

La collaboration a travaillé sur des scénarios de supersymétrie compliqués, améliorant des limites posés de longue date par le collisionneur LEP et excluant certaines configurations susceptibles d'expliquer l'énigme du moment magnétique du muon